Des adaptations des contes des 1001 nuits, il y en a eu des tonnes. L’aventure, le mystère, la magie ou encore la romance sont savamment mélangés et se retrouvent au détour de nombreux contes des 1001 nuits. Le recueil de contes d’origine indienne fourmille d’histoires où les thèmes abordés peuvent être digne d’intérêt pour une adaptation cinématographique.
Les adaptations ne datent pas d’aujourd’hui puisque l’on peut retrouver une première adaptation de ces contes, dans un court-métrage de Georges Méliès (décidemment il est partout) intitulé Le Palais des Mille et une nuits. On adaptera également les histoires d’Ali Baba, de Sinbad ou encore d’Aladin, bien que ne faisant pas parties des contes originels, ils ont été ajoutés par la suite et sont, de nos jours, reconnus en tant que tel. Des grands noms du cinéma se sont donc prêtés au jeu de l’adaptation comme Pier Paolo Pasolini, Osamu Tezuka et on pourra également citer Ray Harryhausen qui a travaillé sur le film de Nathan Juran, Le Septième Voyage de Sinbad. Il y a donc à boire et à manger dans ces adaptations et le plus souvent, ce sont des films ou téléfilms qui sentent un peu le rance malgré tout, on a l’impression que le sujet est intarissable même si de nos jours c’est beaucoup moins le cas.
C’est donc d’Aladdin le célèbre film d’animation de chez Disney dont on va vous parler aujourd’hui et ce n’est pas la première fois que l’histoire du jeune voleur est évoqué au cinéma. En effet, si on remonte aux environs des années 40, on constatera que le conte est adapté en long-métrage, Le Voleur de Badgad. Ce film est donc connu pour être la première itération « live » des aventures du jeune voleur. C’est Michael Powell qui réalisera le film. Le même Powell du duo Powell / Pressburger mais ici, il ne sera pas accompagné de son illustre acolyte. Malgré tout, il ne sera pas seul sur ce film, il sera aidé par Ludwig Berger et Tim Whelan. Powell signe un film d’aventure rempli de mystères et de magie et qui sera gardé comme un excellent souvenir par les gens l’ayant vu. Normal donc que l’Aladdin de Disney s’en soit, pour une bonne partie des éléments scénaristiques, inspiré.
On retrouvera donc quelques éléments du film. Dans le film de Powell, il n’y a pas d’histoires de jeune voleur, juste d’un prince qui se fait manipulé par un vizir du nom de Jaffar. Après quelques péripéties ourdies par le vizir, il va être arrêté. C’est à partir de là qu’intervient Abu, un enfant voleur qui va l’aider à s’évader. S’en suivront moult aventures où l’apparition d’un génie, ayant un léger reflet bleu doré, sera au centre de l’intrigue. Pas la peine donc de vous faire un dessin tant la référence saute aux yeux dans le film de Disney.
Finalement, Disney n’invente absolument rien et n’est pas du tout pionnier dans l’adaptation animée. En effet, l’histoire d’Aladin a déjà été adapté en dessin-animé. Dès 1926 on peut retrouver, dans une version un peu remaniée, le légendaire conte. Mais c’est véritablement en 1959 qu’Aladin connaît une vraie adaptation et c’est surtout grâce au tout aussi célèbre Mr. Magoo que cet opus restera dans les mémoires. En effet, le film, Les Aventures d’Aladin, nous parle d’un ancêtre de Mr. Magoo qui est au centre des aventures du conte. A l’époque Mr. Magoo c’est le truc qui est sur les lèvres de beaucoup de monde, notamment des enfants. Cette version sera confiée à Jack Kinney, le réalisateur de beaucoup de courts-métrage de chez Disney. C’est notamment lui qui est derrière le dessin-animé Das Fuerer’s Face, qui met en scène un Donald Duck rêvant qu’il est un ouvrier de l’Allemagne nazie.
Tout ça pour dire que quand sort Aladdin en 1992, ce n’est pas la première fois que le sujet a été traité, ça serait même difficile de compter combien il y a eu de projets tirés du fameux conte.
Pour s’occuper de donner vie à cette idée, les pontes du studio Disney, ont envie, une fois de plus, d’aller chercher leurs duos de réalisateurs du moment qui marchent, John Musker et Ron Clements. Le moustachu et le barbu, viennent de sortir de La Petite Sirène et ils ne sont pas hyper jouasse pour reprendre les rênes d’un film. Pas parce qu’il n’ont pas d’idées ou envie loin de là, juste qu’ils aimeraient pouvoir se reposer un peu. Mais Disney sort d’un méga succès, La Belle et la Bête et la décision du duo ne va pas tarder, ils vont reprendre la direction d’un film et essayer de pérenniser les succès que le studio aux oreilles de Mickey connaît depuis quelques temps, le fameux second âge d’or du studio.
C’est Howard Ashman (qui mourra prématurément pendant la production du film), un autre homme influent de chez Disney qui est à l’origine du projet. C’est lui qui donnera l’idée à Disney d’adapter le conte en dessin-animé et il ira même jusqu’à écrire quelques chansons avec l’aide d’un autre grand nom, Alan Menken (le mec a été oscarisé 8 fois pour sa musique ou ses compositions chantés). Bref, c’est loin d’être un projet de clampin et on sent bien que les mecs gèrent à merveille ce sur quoi ils planchent.
Le résultat est à la hauteur de toutes les attentes et reste un Disney au capital sympathie énorme et qui marche toujours autant, même 20 ans après sa sortie au cinéma. Malgré tout, la production de cet Aladdin n’a pas été de tout repos et il a même été question de carrément annuler le projet à un moment donné. Avant d’être le film que l’on connaît, Aladdin est passé par différents stades. Il était question qu’Aladdin ait une mère et qu’elle soit un personnage centrale, que les chansons soient plus présentes, que l’on reprenne beaucoup plus d’éléments du conte originel et certains designs, notamment celui d’Aladdin, faisait beaucoup plus jeune (entendre par là enfantin) que celui qu’on lui connaît et, les voeux n’étaient absolument pas limités.
Finalement, il va y avoir une remise en question salvatrice. Les équipes en présence vont être amenées à se torturer les méninges et à repenser beaucoup d’éléments pour pouvoir proposer un film qui soit à la hauteur du talent de tout le monde et de ce que Disney nous offre depuis sa « renaissance » .
Aladdin sera donc le troisième long-métrage à en sortir (donc, pour ceux qui ne suivent pas, après La Petite Sirène et La Belle et la Bête) et en voyant le film, on comprend aisément pourquoi.
Aladdin de Ron Clements et John Musker revient aux origines des films Disney et à ce qui faisaient leurs charmes. Magie, aventure, émotion et musique. Une équation qui se ressent vraiment beaucoup plus dans ce 31ème classique. Faut dire que le lieu où l’action se déroule permet d’emblée d’en prendre plein les yeux et d’être totalement dépaysé. On va voyager dès les débuts du long-métrage jusqu’aux derniers instants et l’ambiance qui s’en dégagera aura de vrais relents d’évasions.
Outre l’ambiance et l’histoire (un brin bâteau nous en conviendrons), on retrouve une belle palette de personnages.
On ne va pas se mentir, on retient ce film de Disney pour réellement un seul personnage, c’est bel et bien le Génie. L’être magique bleutée bouffe littéralement la moindre parcelle de péliculle, si bien que lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran, on attend la prochaine apparition avec une certaine impatience. Il faut dire aussi que le personnage est totalement délirant et que dès qu’il apparaît, c’est souvent une avalanche de délire qui va arriver, aussi bien visuellement que musicalement. La scène de son arrivée restera longtemps en mémoire et la musique qui l’accompagne de même, le genre de séquence qui est limite éprouvante de par la profusion de choses à l’écran. Totalement ahurissant. On avait rarement vu ce genre de délires chez Disney (bien que Dumbo en possède un joli) et encore de nos jours c’est beaucoup moins ouvert sur le n’importe quoi. Dommage parce qu’on a véritablement l’impression que l’équipe s’en donne à cœur joie et prend un pied énorme à réaliser ce genre de séquences.
Pour donner vie au Génie, il ne suffit pas de lui donner une prestance graphique, qui aura comme influence l’immense Cab Calloway, il faut aussi qu’il ait une voix et celle qu’il aura finira de faire de ce personnage un incontournable. C’est Robin Williams qui aura la lourde tâche de succéder à Bud Spencer dans le rôle du Génie. Dire que cela sonne comme une évidence est un doux euphémisme. C’est bien simple, si Robin Williams n’avait pas été le représentant vocal du Génie, nous n’aurions pas eu la même force dégagée par le personnage. Le débit du parole du Génie est totalement fou et on a l’impression qu’il ne va jamais s’arrêter, cela lui confère un statut comique non négligeable. Pour la première incursion d’une star internationale dans un dessin-animé de chez Disney, c’est plus qu’une réussite.
La suite de l’histoire entre Disney et Robin Williams n’est pas si rose que cela puisque l’acteur et le studio se sont embrouillés. Tout cela à cause de Disney qui utilisera la voix de Robin Williams pour autre chose que le film, alors que l’acteur avait fermement demandé le contraire.
C’est donc Dan Castellaneta (oui, le même que pour Homer Simpson) qui deviendra la voix du Génie pour les différentes suites vidéos ou pour la série télévisée. Robin Williams et Disney redeviendront un peu copain quelques années plus tard et l’acteur reviendra se prêter au jeu du doublage pour le troisième film, où le Génie avait déjà été totalement doublé par Castellaneta. Oui, c’est compliqué et non, ce n’est pas grave si vous n’avez pas suivi.
Les personnages humain ne sont pas en reste non plus. Aladdin est un personnage masculin loin du prince charmant que l’on a l’habitude de voir. Voleur, qui fait fi de tout autorité, ce n’est pas le personnage avec le plus de valeurs que l’on a connu chez Disney. Enfin des valeurs il en a mais il est bien moins chevaleresques que le Prince de Blanche-Neige, c’est plus un gamin un brin fougueux qui va se retrouver au centre des événements alors qu’il n’a absolument rien demandé à personne. Visuellement, le personnage devait avoir les traits de Michael J. Fox mais après le revirement de situation qu’à connu la production, on lui a accolé les traits de Tom Cruise, ce qui lui confère un côté beau gosse qui n’est pas loin d’entrer dans l’âge adulte. Il est accompagné d’Abu qui, à la différence du film de Michael Powell, est ici un singe dont la tête est joliment ornée d’un fez et qui est quelque râleur sur les bords.
N’oublions pas les autres personnages comme la très belle Jasmine qui offre une image de princesse bien moins potiche qu’à l’habituée. On est en présence d’une fille qui se pose de vraies questions et pas seulement de savoir si elle arrivera à trouver l’amour, à la limite elle s’en tape puisqu’elle a envie de liberté. Assez rare pour être soulignée. L’animateur principal du personnage, Mark Henn, indique s’être inspiré d’une photographie de sa soeur, Beth Henn, pour les traits de la princesse. Dans les bonus on peut voir la transformation de la soeur en princesse pour un Halloween et le résultat est assez surprenant.
Le méchant du film est lui aussi inratable et aurait très bien pu voler la vedette au Génie. Jafar est perfide, il a un mauvais fond et n’hésite pas à mettre sur pied les plans les plus machiavéliques pour arriver à ses fins. Le méchant Disney dans toute sa splendeur surtout qu’il va connaître (tout comme Maléfique ou Madame Mim) une transformation en un féroce animale. Un méchant qu’on également du mal à oublier d’autant qu’il est accompagné de Iago, un perroquet doué de la parole et s’il y a bien un personnage capable de rivaliser avec le Génie sur la question du débit, c’est bien lui. Le parfait compagnon pour Jafar et qui permet d’avoir une vraie transposition côté maléfique du trio Aladdin / Abu / Génie.
Il serait dommage de ne pas parler d’un personnage totalement muet mais qui n’en sera pas moins expressif, le tapis volant. Le tapis volant est un élément important aussi bien scénaristiquement que techniquement. En effet, il sera le premier personnage a être géré par le biais du numérique. Alors bien évidemment la technique a déjà été aperçu auparavant mais c’est la première fois qu’elle est utilisée pour un personnage à part entière et dont la présence est au centre du long-métrage. Ce procédé aura pour but de donner beaucoup plus de vies à ce bout de moquette et lui donner plus de souplesse qu’il n’aurait eu avec un dessin classique.
Le graphisme assisté par ordinateur est également utilisé pour d’autres choses dans le film comme la séquence de la lave sur le tapis volant ou la tête de tigre faisant office de l’ouverture de la grotte où se trouve la lampe magique. Au vu des balbutiements de la technique on aurait pu craindre quelque chose qui s’intègre mal à la 2D, il ne faudra pas longtemps avant de se rendre compte du contraire.
Aladdin a soufflé ses 20 bougies il y a peu de temps et, le moins que l’on puisse dire, c’est que ce long-métrage de Disney a marqué les esprits. Déjà, Aladdin est sorti dans un temps béni où les adaptations vidéoludiques de licence ne signifiaient pas juste un jeu pour pouvoir profiter de la sortie du film mais représentaient bien plus. Aladdin a connu plusieurs adaptations en jeu-vidéo mais deux resteront à jamais dans les mémoires des joueurs, celle sur Super-Nintendo et celle sur Méga-Drive. Le premier a été conçu par Capcom et l’autre par l’inénarrable David Perry (le papa d’Earthworm Jim, entre autres) et les joueurs sont aussi nombreux à défendre le jeu sur Snes que sur Mégadrive mais à l’époque, dans les cours de récrés, c’était une véritable guerre qui était livrée pour savoir lequel était le meilleur. Même encore aujourd’hui, personne ne le sait vraiment.
Avec l’arrivée de cette formidable invention qu’est internet, les gens y sont allés de leurs théories sur beaucoup de sujet et Aladdin n’échappe pas à la règle.
Ainsi, une hypothèse avançant que le Génie et le marchant du début du film sont une seule et même personne. La théorie et les arguments avançaient se tiennent parfaitement, on ne sait pas si c’est voulu mais en tout cas, c’est marrant de le constater. On pourra dire la même chose des gens qui pensent que le film se déroulent dans un futur lointain, au vu des références culturelles du génie et des explications temporelles qui nous sont données, ils ne pourraient en être autrement et Agrabah serait en vérité un monde post-apocalyptique. Là aussi, même si c’est totalement farfelu, ça se tient. C’est le genre de choses qui ne changeront pas la vision du film mais qui lui apporte un petit plus marrant.
A l’époque de la sortie d’Aladdin, on était en présence d’un long-métrage hyper rythmé où tout était parfaitement orchestré. Les chansons (qui font une nouvelle fois avancé le récit), la musique, les personnages, les lieux, le visuel tout était parfait. Tout ce temps après et avec la ressortie du Blu-Ray (bien qu’on l’ait vu et revu en DVD) on se rend compte qu’Aladdin est un véritable chef-d’oeuvre intemporel qui marche aussi bien sur les grands que sur les petits, même ceux du 21ème siècle. Plutôt balèze.
Disney se rate rarement sur ses grands classiques et cette nouvelle sortie Blu-Ray ne déroge pas à la règle. Le film n’est pas très vieux mais malgré tout, le travail qui a été fourni sur l’image est sans faille.
Vous n’avez probablement jamais vu Aladdin de cette façon et vous pouvez refourguer votre DVD.
Malgré tout, il y avait un point sur lequel l’image pouvait être sujette à caution, ce sont les effets spéciaux numériques. Datant de 1992, ils ne sont donc pas vraiment de la première fraîcheur mais, là aussi, les gens qui ont bossé sur l’image de ce Blu-Ray ont fait quelque chose qui ne jure absolument pas avec le reste. Bien sûr il y aura des séquences où ces effets se verront un peu plus mais ça n’est absolument pas gênant. Loin de là.
Etant une feignasse pur jus, j’avais envie de vous dire juste : Très bien ! mais mon côté professionnel (il est tout petit) me dit d’être un peu plus sérieux.
Donc, l’audio de ce Blu-Ray est tout aussi réussi que l’image. La VO comme la VF s’en sortiront à bon compte. Pour la piste dans la langue de MC Hammer on nous propose une DTS HD MA 5.1 de haute volée. C’est bien simple, on est au coeur de l’action grâce à une utilisation intelligente des satellites et, aussi bien la musique que les détails sonores gagnent en profondeur et force. Ça sera la même chose pour les nombreux dialogues ou encore les chansons qui parsèment le film. Une piste de très bon aloi.
La VF, en DTS HD High Resolution 5.1 n’a pas à rougir et ne sera pas, cette fois-ci, pointée du doigt puisqu’elle offre plus ou moins les mêmes choses que la VO. Mis à part un léger ton au dessous concernant les dialogues, le reste est percé dans le même gabarit. Concernant l’artistique Aladdin fait partie de ses films qui ont été adaptés avec intelligence. Forcément on y perd au change mais les gens qui sont dérrière cette VF n’ont pas à être honteux tant le travail qu’ils ont fourni a dû être titanesque pour pouvoir être le plus juste possible et être le plus prêt possible de l’humour de la VF.
Le coup de moins bien de ce Blu-Ray puisqu’il n’y a absolument rien de neuf par rapport à l’édition collector sorti en DVD il y a de ça près de dix ans. Les gens qui ne les ont pas vu seront ravis et peuvent ajouter facilement 3 points à la note, les autres peuvent déjà se faire à l’idée et éviter la section. C’est toujours ças de gagner même si on a un goût étrange dans la bouche, un peu comme du Coca éventé. Le tout est proposé en SD et sous-titré en français, encore heureux…
- Commentaire audio des réalisateurs et du producteur : Plutôt loquace, le trio revient sur l’aventure qu’a été la production d’Aladdin. Les deux réalisateurs ne sont pas avares en information et anecdotes. Pas le meilleur des commentaires audio (surtout en ayant vu le making-of) mais pas le plus mauvais non plus.
- Chantons ensemble : Le film avec des sous-titres durant les chansons pour pouvoir se la jouer karaoké. Totalement inutile…
- Scènes coupées (SD, 5 mins) : Au nombre de deux, on est témoin de choses qui étaient présentes avant la reboot de la production, notamment l’idée qu’Aladdin avait une mère. Pas inoubliable mais intéressant de voir la direction que le film aurait pu avoir s’ils étaient restés avec cette idée.
- Clips (SD, 10 mins) : Des clips quoi…Rien de vraiment folichon. Le seul intérêt que l’on peut y trouver (et encore c’est relatif), c’est la présence d’un clip d’une des chansons supprimées.
- Chansons supprimées (SD, 14 mins) : Écrites par le duo Howard Ashman et Alan Menken, ces chansons n’ont soit pas trouvées leurs places soit on été supprimées après la remise à niveau totale de la production. Histoire de se rendre compte qu’Howard Ashman pouvait écrire à peu près sur tous les sujets.
- Un Diamant à l’état brut – Making of (SD, 99 mins) : Le gros morceau de ce disque (qui est également disponible en une vingtaine de parties). Entre images de production, de brain-storming où encore plusieurs années après la sortie du film, le making-of brasse tout un tas de thèmes et est plutôt intéressant à suivre. Par contre, ne comptez pas sur la présence de Robin Williams…