Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l’équipe des G.I. Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses G.I. doivent identifier l’ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d’élite : Joe Colton.

C’est le chaos au Moyen Orient, le Pakistan est en flamme. Pèse alors une menace nucléaire sur le monde entier et seule l’Amérique semble pouvoir voler au secours du monde libre. « Appelez moi les G.I. Joe, » sera l’ordre donné par le président américain qui voit en eux la seule solution envisageable. Après une action rondement menée et les ogives nucléaires récupérées, Les G.I. Joe, tombent dans un piège fatal qui semble être fomenté par leur propre camp. Décimés, seuls 3 auront survécus au carnage et comptent bien obtenir le fin mot de l’histoire mais aussi venger leurs camarades tombés et abandonnés par les leurs.

Les méchants fomentent un mauvais coup, les gentils se ressaisissent et se remobilisent pour faire face. Et nous voilà parti pour 110 minutes (ah oui, tout de même) de spectacle de sons et lumières en 3D, de muscles, de testostérone, d’explosions, de gros calibres, de ninjas qui volent, de tyrans, de véhicules aussi étranges qu’improbables, de gadgets à la James Bond et de sang… Ah non pas de sang, en fait pas une seule goutte de sang, ce qui fait que ce film est classé tout public. Parce que ça fracasse, ça tue, ça découpe mais sans bain de sang alors question morale c’est en effet mieux mais question crédibilité, ils pourront repasser.